Cette citation latine est une paronomase, c'est-à-dire une figure de style qui réunit deux paronymes - deux mots à la phonie et la graphie très proches - dans une même phrase. L'effet induit, outre la facilité à mémoriser ce type de phrase, c'est de pointer sur les lettres qui se distinguent : U et N
Passerelle 560-470
Mon dixième est toujours NU quand il a une liaison prend alors un sens particulier avec une phrase qui assure une passerelle entre les énigmes 560 et 470.
L'interprétation qu'on peut en faire, c'est l'utilisation en 560 d'un élément majeur de la 470.
Parmi toutes les hypothèses de la 470, il y a l'hypothèse de la Garonne et comment ne pas trouver troublant le fait que le découvreur de la véritable source de la Garonne, Norbert Casteret, ait justement pris comme devise la phrase latine Ad augusta per angusta.
Parmi toutes les hypothèses de la 470, il y a l'hypothèse de la Garonne et comment ne pas trouver troublant le fait que le découvreur de la véritable source de la Garonne, Norbert Casteret, ait justement pris comme devise la phrase latine Ad augusta per angusta.
J'ai déjà évoqué l'expérience du spéléologue qui démontra la liaison souterraine entre le trou de Toro et le Guelh de Joèu.
Si on s'intéresse à la source de la Garonne, beaucoup de documentations nous mèneront vers une source différente, celle du Pla de Béret à proximité du Port de Bonaigue. Nous aiguiller indirectement vers Norbert Casteret, c'est nous amener à réparer une erreur et rétablir une vérité en considérant la véritable source comme point important en 560.
La traduction de la phrase latine A des résultats grandioses par des voies étroites renvoie à la notion de mire qui nous permettrait d'obtenir ce qui nous manque cruellement en 560 : un cap.
Aussi l'hypothèse d'un point cible qui servirait de cap est-elle une considération tout à fait envisageable.
Il existe aussi une grotte Casteret non loin de la brèche de Roland comme lieu susceptible d'offrir une passerelle entre Casteret et l'énigme 470.
La brèche de Roland vue de la grotte de Casteret (photo famille Allais) |
A noter également qu'en 1952, Norbert Casteret a exploré avec le physicien Max Cozyns, le Gouffre de la
Pierre Saint Martin. On pense évidemment à un possible clin d'oeil avec la Pierre Saint Martin (Martinstein) d'Haselbourg.