dimanche 15 septembre 2013

SAINT-NICOLAS-DE-PORT

La piste Étain s'appuie sur le segment Gérardmer-Etain-Carignan.

La flèche d'Apollon atterrit quelque part sur l'arc de 559 km centré sur Golfe Juan. Or cet arc croise le segment GEC au niveau de la ville de Saint-Nicolas-de-Port.

Intersection du trait GEC et du cercle GJ-559


La ville de Saint-Nicolas-de-Port se situe sur ce segment et le navire noir perché de la 600 pourrait désigner le blason de la ville :




La basilique de Saint-Nicolas-de-Port est donc le point de chute possible de la flèche d'Apollon et il faut s'intéresser au trésor de la basilique.


Basilique de Saint-Nicolas-de-Port


La relique la plus connue du lieu est évidemment la dextre bénissante de Saint-Nicolas (selon la tradition il s'agit de l'os d'une phalange de la main droite de l'évêque). Elle est conservée dans un bras reliquaire de la fin du XIXe siècle en argent, or, émaux et diamants.
(Source Wikipedia)

Mais un autre objet est susceptible de davantage nous intéresser :


Vaisseau dit du Cardinal de Lorraine
D’origine allemande, cette nef de table montée sur roue porte le poinçon d’Hans Rappolt, orfèvre de Nuremberg depuis 1579 : c’est un nautile (céphalopode à coquille spiroïdal symétrique, que l’on pêche en haute mer dans les eaux de l’Océan Indien et du Pacifique), corseté d’une armure d’argent doré développée de telle façon qu’il figure un bateau ponté avec mât central. Les orfèvres des pays germaniques au XVIe et XVIIe siècle tout particulièrement, par l’adjonction de montures dorées d’une grande variété, surent créer d’extraordinaires objets décoratifs avec ce genre de coquilles ; de nombreux musées en exposent. Citons pour la France, le nautile monté en navette à encens daté de 1540) conservé dans le trésor de la cathédrale de Chartres.
Sur le pont sont disposés de petits personnages, un cardinal assis et cinq soldats. Certains érudits ont voulu identifier, sans preuve, le cardinal avec le primat Charles de Lorraine, élu évêque de Strasbourg en 1592. Quoi qu’il en soit, le vaisseau acquis peu après 1824 à Paris par un amateur nancéien du nom de Butte, fut acheté en 1851 par le curé de Saint Nicolas de Port, Le Bègue de Girmont, puis restauré en 1892 par l’atelier de l’orfèvre nancéien Henri Bossert. Il a figuré aux expositions universelles de 1889, 1900 et 1937.
(Source : site web de l’association Connaissance et Renaissance de la Basilique de Saint Nicolas de Port)



La nef du cardinal


Au chapitre des anagrammes, nous savons que née clef en main est l'anagramme de nef encalminée, mais signalons aussi la nef éminence or le titre d'éminence est réservé aux cardinaux autrement dit la nef éminence pourrait coder la nef du cardinal.


On aurait donc une nef encalminée qui serait la nef du cardinal de la basilique située dans une ville symbolisée par un navire noir perché, Saint-Nicolas-de-Port.

Les 4 points géodésiques de la basilique se situent au niveau des sommets des deux tours et oscillent entre 286 et 291 m.
Il est donc difficile d'obtenir un point de chute cohérent avec une mesure de 33 cm qui donnerait 650 m d'altitude.
L'explication des 1969,697 mesures reste donc à expliciter dans cette hypothèse toutefois très prometteuse.






dimanche 1 septembre 2013

BAGNERES-DE-BIGORRE

Cette hypothèse est défendue par le chercheur BlackTiger.
Je n'évoque ici que la partie qui concerne la flèche d'Apollon.
L'ensemble de ses hypothèses sont accessibles ici.

Les pré-requis à la compréhension sont la circulade de Bram en tant que spirale à quatre centres du jeu ainsi que la mesure de 29,7 cm obtenue via la piste Micromegas.

Apollon est présent sur l'horloge astronomique de Strasbourg et va initier son déplacement de Strasbourg à Golfe-Juan. C'est là, à Golfe-Juan qu'il va déclencher son tir.

la spirale de Bram sert de point de visée à Apollon.
Sa flèche vise Bram et s'abat à 559 km de Golfe-Juan pour parvenir à Bagnères-de-Bigorre.

Image de BlackTiger

Les 1969,697 mesures de 29,7 cm (soient 585 m) permettent de préciser le point de chute de la flèche puisque l'altitude en centre ville étant voisine de 550 m, le point de chute correspond nécessairement à l'altitude d'un édifice qui culmine à environ 35 mètres.
Il n'y a qu'un seul candidat : la tour des jacobins qu'on nomme également la tour de l'horloge dans la rue de l'horloge de Bagnères-de-Bigorre.


La tour des jacobins (photo de Georges Estève)


Note : ce n'est pas une espièglerie de ma part mais la photo contient d'origine des fils électriques sur lesquels des oiseaux sont posés formant les notes Si/Fa/Ré sur cette "portée" improvisée.


Localisation France ; Midi-Pyrénées ; Hautes-Pyrénées ; Bagnères-de-Bigorre Nom de l'édifice Tour des Jacobins 

Cette tour est tout ce qui reste de l'ancienne église de ce nom et du couvent des Dominicains qui auraient été bâtis vers 1373. A l'origine, cette tour formant clocher ne possédait que deux étages de fenêtres. Elle était coiffée d'une flèche en ardoises. Au premier étage, les baies sont encadrées d'une mouluration de caractère 15e siècle. Ces baies sont fermées par des arcs plein cintre surmontés d'une accolade terminée par des fleurons et reposant sur des corbeaux. Cette tour fut en partie détruite par la foudre et reconstruite au 16e siècle. La tour est construite en pierre appareillée irrégulièrement. Il ne reste presque rien de l'escalier primitif en pierre. Quelques marches seulement subsistent au départ ainsi que l'encadrement en pierre de la porte. La partie supérieure de la tour a été remaniée sous la Restauration qui a mis au goût du jour les deux étages supérieurs.
(Source : base mémoire du Ministère de la culture)



Hâte-toi de trouver la flèche assure la cohérence temporelle entre un point initial sur l'horloge astronomique de Strasbourg et un point final sur la tour de l'Horloge de Bagnères-de-Bigorre.