Le cœur de ROLAND est OLAN, anagramme de LAON. (signalé notamment par le chercheur Simaelll)
La ville de Laon autour de sa cathédrale |
Le tout de la 470 n'est pas Roncevaux mais le tout arithmétique de l'énigme en A=0, c'est à dire 3371. (Don Luis en a fréquemment parlé)
Or 3371 m correspond à l'altitude du Pico Posets. (cf article suivant)
Lorsque l'on joint Pico Posets à Bourges, on parvient à la ville de Laon.
(Je rappelle que cette ville et ses environs proches constituaient la zone finale du Trésor d'Orval)
(Je rappelle que cette ville et ses environs proches constituaient la zone finale du Trésor d'Orval)
Étymologiquement Laon provient de Lug, le dieu gaulois de la lumière.
Laon serait la Lumière ?
Pas sûr, car on constate que ce trait croise également le cours de l'Yonne.
On note que le trait Forbach-Angers croise également le cours de l'Yonne en ce même point offrant une troublante analogie avec l'intersection graphique de l'Aube.
Il convient de rappeler qu'à la confluence de l'Yonne et de la Seine, c'est l'Yonne qui dispose du plus gros débit moyen (93 m3/s contre 80 m3/s pour la Seine).
Un confluent, ou point de confluence, est un lieu où se rejoignent plusieurs cours d'eau.
En général, l'un des deux cours d'eau, dont le débit est moins important, est considéré comme l'affluent.
Selon cette définition, c'est la Seine qui devrait être un affluent de l'Yonne et non l'inverse.
Autrement dit, le véritable fleuve qui traverse Paris et Rouen et qui se jette dans l'embouchure du Havre est l'Yonne au point de vue hydrologique.
La phrase PARTEZ DE RON(CEVAUX), FLEUVE AU NORD-EST APPARAÎT ENFIN - dont j'ai expliqué l'obtention lorsque j'ai évoqué la Garonne dans l'article suivant - pourrait donc s'appliquer à l'Yonne.
L'Yonne serait alors la Lumière du jeu.
La phrase PARTEZ DE RON(CEVAUX), FLEUVE AU NORD-EST APPARAÎT ENFIN - dont j'ai expliqué l'obtention lorsque j'ai évoqué la Garonne dans l'article suivant - pourrait donc s'appliquer à l'Yonne.
L'Yonne serait alors la Lumière du jeu.
Plusieurs choses coincent avec cette idée.
RépondreSupprimerQuelle est la raison pour assimiler l'yonne à une lumière. Avec l' Aube au moins c'est évident.
Quel est l'élément antérieur ? Avec l'Aube on a le coq ( qui vaut ce qu'il vaut mais a le mérite d'exister )
Le code A0 n'est connu que dans la 580 donc il est assez illogique de l'utiliser ici.
C'est un gros travail pour fabriquer le texte avec le bon total lettrique, travail inutile dès qu'on a Bourges et Laon ( quand même plus facile à trouver )
Une fois encore c'est un alignement qui fait fait tout tenir et qui nécessite donc une carte dès la 470 alors qu'elle devrait être au minimum facultative.
Je suis d'accord avec toutes tes remarques.
RépondreSupprimer- La ville de Laon, qui désigne étymologiquement la forteresse de Lug, le dieu de la lumière solaire est davantage susceptible de désigner la lumière que l'Yonne qui n'évoque pas comme l'Aube, l'idée de la lumière.
- L'élément antérieur ? Pour l'Aube, je trouve que le visuel de la 780 qui évoque le lever du jour est plus convaincant que le coq. De plus ce ciel a une belle couleur de rivière.
Pour l'Yonne, difficile d'identifier un élément antérieur, c'est vrai.
- Le code A=0 n'est effectivement connu qu'en 580, il serait donc plus logique d'utiliser le code A=1.
- Le Tout (au sens mathématique du terme) aiguille vers un calcul de ce type qui est peut-être un peu long à la main mais qui est facile à effectuer.
- C'est vrai qu'il n'y a pas besoin de carte en 470 mais on sait que l’alignement Tout-Ouverture-Lumière est attesté par l'auteur lui-même.
Alors qu'en penser ?
Tu as raison, certains éléments semblent en contradiction avec les madits mais je pense qu'il faut garder en tête ces éléments de solutions (la trame numérique qui permet d'obtenir 3371, 778 et 1815 est troublante :
3371 - 2593 (tout de la 530 en A=0) = 778 (date de la bataille de Roncevaux
2593 - 778 = 1815 (date des Cent-jours)
)
Une rivière qui devrait être un fleuve, ça parle quand on sait que l'auteur aime les erreurs communément admises comme des vérités.
Une ville qui est la solution finale de la chasse suivante, c'est troublant également.
Bref, tes réticences sont parfaitement justifiées mais je pense qu'il faut garder en têtes les éléments constitutifs d'une telle hypothèse au cas où ...
Cette hypothèse apporte une alternative séduisante dans sa démarche et je te remercie de la partager avec nous.
RépondreSupprimerMax a toujours dit qu'il n'y avait qu'un lieu à trouver en 470. A RONCEVAUX comme résultat de la charade et l'épée sont peut-être juste des "indices" pour nous faire trouver un événement, une date ou un personnage.
Dans l'hypothèse ci-dessus, ces indices désignent Roland, et on se souvient que Max avait déjà dit que l'épée et le propriétaire allaient de paire, et était même allé jusqu'à citer des noms d'épées célèbres... mais pas leurs propriétaires. Ce serait donc le propriétaire qui est important.
Il faut bien avouer que l'intersection avec la ligne Forbach-Angers est troublante, et l'exactitude de l'alignement Pico Posets/Bourges/Laon est rigoureuse (avec mappanot).
J'ai toujours beaucoup apprécié l'astuce consistant à considérer le tout de la charade comme un tout arithmétique. Mais utiliser A=0 comme Don Luis n'a de sens que si on a quelque chose qui le justifie avant la 580, dans son cas plusieurs alignements faisant intervenir Ahun (A=1) et Autun (ôte 1).
A propos de Laon comme lumière et de son rôle de solution dans le trésor d'Orval, cette ville a vu la fondation des miroiteries St Gobain (à quelques kilomètres). L'évocation de la lumière dans les énigmes précédentes pourrait être cette notion de miroir rencontrée dans la 780 avec SN dans la boussole, symbole de l'étain, mais aussi rosse/Lord Ross et son télescope équipé d'un miroir de 72 pouces, une prouesse pour l'époque.
Effectivement, la plupart des hypothèses s'appuient sur un tout qui est le résultat de la charade et qui correspond à Roncevaux.
SupprimerDans cette hypothèse, les deux sont dissociés.
Le Tout de la 470 (3371) est le Pico Posets alors que le résultat de la charade (A Roncevaux) désigne Roland. Le titre vise le coeur de Roland, la ville de Laon.
L'Yonne offre alors une alternative à l'Aube.
Ahun et Autun sont séduisantes parce qu'elles rentrent en résonance directe avec le code -1/+1 de l'IS Ca s'est passé en 778 mais difficile de trouver un raisonnement qui les légitime ...
Il n'y a pas besoin de raisonnement pour trouver Ahun ! Il suffit de tracer la ligne Vézelay (chemin de Compostelle) - Roncevaux. Les énigmes précédentes induisent déjà des alignements validant Ahun et Autun.
SupprimerEncore faut-il avoir admis un certain nombre de choses. Tout alors se met à coller...
Par exemple, si le Sage est bien Lesage, né à Sarzeau, il est bon de noter que cette ville est alignée avec Vézelay et Baume-les-Dames (Ste-Odile retrouvant la lumière).
Quand on admet "mon" ouverture (au centre de la ligne Albi-Amiens), on voit qu'en partant du lieu-dit Les quatres-chemins (comme ceux de Compostelle), et en passant par cette ouverture, on retombe sur Baume-les-Dames... De même, Laredo - Les quatre-chemins donne La Flèche... Et La Flèche - Obernai (toujours Ste Odile) donne Bar-sur-Aube, aligné avec Vézelay et Roncevaux.
etc.
DL
A propos de 3371, et de la manière dont j’obtiens ce nombre je voudrais te signaler ceci, qui pourrait t’intéresser – ou au moins te faire réfléchir.
RépondreSupprimerSur le visuel de la 580, les notes forment trois groupes (1-2-4, soit B-C-E, le « bec cassé »). De haut en bas :
B
AG
FEDC
Le code donné par les dix villes permet de convertir ces lettres en chiffres :
1
06
5432
Si on additionne les trois nombres ainsi trouvés, on obtient 5439 (auquel il suffirait d’ajouter la valeur du titre de la 500, qui concerne également les notes, soit 171, pour obtenir le total des longueurs d’onde).
En A=0, les 10 villes, une fois décryptées, valent 714.
Or, 5439 = 3371 (trouvé dans l’énigme précédente) + 714 (les dix villes) + 1354.
Et 1354… c’est la date de la fondation de la Décapole alsacienne ! J’y vois une confirmation de 3371, bien sûr, mais aussi d’Obernai.
Pour mémoire, la 580 reprend la problématique de la B (dix énigmes/dix villes, sept couleurs/sept notes, =/vaudra). Le titre de la B parle d’aveuglement, et Obernai est la ville natale de Ste Odile, réputée guérir les maladies des yeux, et qui a elle-même recouvrée la vue à Baume-les-Dames.
Codée comme les dix villes, OBERNAI devient IALNRIMISO = dix lettres. A lire verticalement dans la liste des dix villes codées ?
J’aime bien ton blog, mais je regrette son côté fragmentaire. Ne serait-il pas temps d’essayer de comprendre la logique globale des énigmes, afin de résoudre celles-ci une bonne fois pour toutes ?
Amicalement – DL
PS. Je ne comprends rien à ce qu’il faut faire pour publier un commentaire sur ton blog (je suis définitivement réfractaire à Facebook, Google et autres Big Brothers). J’essaie donc de le publier en mode « anonyme ».
3371 m., altitude du Pico Posets, est le « mon tout » arithmétique de la deuxième charade.
RépondreSupprimerPour ce qui est du tout de la première charade, Lesage est né en 1668 et le devin Nostradamus en 1503, ce qui donne un total de 3171.
Sur les 4 chemins de Compostelle, 3 seulement passent « à Roncevaux ».
L’altitude du col de Roncevaux est 1057 m. Or, 1057 x 3 = 3171 !!!
DL
Salut Marvin,
RépondreSupprimerSans adhérer totalement à cette piste, j'ai également découvert (et j'imagine que tu l'as vu toi aussi) que Laon est la ville de naissance de Berthe aux Grands Pieds, mère de Charlemagne, autrement appelée "Bertrade de Laon".
Bien à toi !
Simaelll
Salut Simaelll,
SupprimerNon, je ne le savais pas et c'est effectivement un détail intéressant à signaler. On parle fréquemment des personnages historiques dans la chouette mais la piste des personnages dans la galaxie proche de ces personnages (épouse, mari, frère, soeur, parents, enfants ...) - et donc fatalement moins connus - n'est peut-être pas à écarter.
Amicalement,
Marvinclay
D'une certaine façon, l'Yonne est la lumière...
RépondreSupprimer